Le blog de Michel

Je veux dédier ce poème
À toutes les femmes qui aiment
La vie, la vie par-dessus tout

À celles qu’on a vu souffrir
Qu’on voyait parfois dépérir
Qu’on n’a jamais vues à genoux

À celles qui voulaient survivre
Quelque fois mutilées mais ivres
D’encore se tenir debout

Remercions ces survivantes
Amies, épouses ou amantes
Qui maintiennent en vie l’espoir

Encourageons toutes les femmes
Qui entretiennent cette flamme
Se dépister est un devoir

Je veux dédier ce poème
À toutes les femmes, je les aime
Évitez-nous le désespoir

Je veux dédier ces mercis
Aux chercheurs et autres toubibs
Qui bataillent à vos côtés

Qui vont de victoires en échecs
Mais par eux la science progresse
En quête d’une panacée

Octobre Rose c’est ton nom
Mois de lutte et non d’abandon
Où l’on espère tous gagner

Octobre Rose c’est ton nom
Loin de toute résignation
Pour continuer à avancer

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D’après Les passantes, poème d’Antoine Pol (1911) publié dans Émotions poétiques (1918), mis en musique par Georges Brasses (version finale en 1969).

Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Passantes