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Benjamin d’une fratrie de sept enfants, Chen Tienhong a dû quitter son village natal de Yongjing pour vivre librement son homosexualité. Alors qu’il est installé à Berlin, sa relation avec un homme violent le conduit à passer plusieurs années en prison. À sa sortie, il décide de rentrer chez lui et d’élucider un mystère qui plane depuis son enfance. Arrivé le jour de la fête des Fantômes, où les vivants accueillent et célèbrent les défunts, Tienhong lui-même se sent comme un spectre errant dans un lieu qu’il reconnaît à peine.
À travers les voix des vivants et des morts, Kevin Chen dresse un magnifique portrait d’une famille dysfonctionnelle au cœur de la campagne taïwanaise, et signe un roman sensuel, dérangeant et profondément actuel. |
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Les avis des lecteurs
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« Ce roman est une enfance crachée à la face du monde, pour se réapproprier son histoire et avancer. C’est un roman moderne qui va au-delà de l’intime de l’auteur, il nous raconte le monde avec les fantômes d’un passé que personne ne voudrait voir revenir.
Un livre à découvrir en cette rentrée littéraire. »fuji |
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« Un livre d’une puissance incroyable. Une merveille. Merci mille fois à Kevin Chen dont le talent explose à chaque phrase et illumine, comme la nuit les vers luisants, son roman. Ne passez surtout pas à côté. Ghost town de Kevin Chen, à lire absolument. » MaxSco |
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« Ghost Town m’a conquise tout en m’horrifiant et je garderai longtemps les stigmates de cette lecture décapante et passionnante ! (…) La plume de Kevin Chen est brillante. (…) Ce roman m’a bouleversée et j’en ressors séduite. » Croquignolle |
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À propos de l’auteur : Kevin Chen
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Kevin Chen est né à Yongjing et a débuté sa carrière artistique en tant qu’acteur. Il vit aujourd’hui à Berlin et a publié plusieurs romans, des essais et des recueils de nouvelles. Il est lauréat, entre autres, du Grand Prix de littérature taïwanaise. |
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Chronique du pays des gens les plus heureux du monde
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Dans un Nigéria imaginaire, un mystérieux réseau monnaie, en vue de pratiques rituelles, des organes dérobés à l’hôpital. Le docteur Menka s’en ouvre à son plus vieil ami, Duyole Pitan-Payne, bon vivant, yoruba, ingénieur émérite. Duyole s’apprête à prendre un poste prestigieux aux Nations unies, mais il semblerait qu’on soit déterminé à l’en empêcher. Et si le docteur Menka et Duyole ne savent pourquoi, ils ignorent aussi à quel point l’ennemi est proche et féroce.
Farce littéraire, machination redoutable et réquisitoire cinglant contre la corruption des élites, Chroniques du pays des gens les plus heureux du monde est un grand roman qui signe le retour de Wole Soyinka, Prix Nobel, un des géants de la littérature mondiale. |
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À propos de l’auteur : Wole Soyinka
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Né en 1934, Wole Soyinka a été le premier auteur africain à recevoir, en 1986, le prix Nobel de littérature. Il a écrit plus d’une vingtaine de pièces de théâtre, plusieurs anthologies de poésie, des Mémoires, des essais, des nouvelles. Et seulement trois romans, les deux derniers à cinquante ans d’intervalle. En 1965, cinq ans après l’indépendance du Nigéria, Soyinka était déjà une figure connue de l’opposition. Pendant la guerre civile, il fut accusé de complicité avec les rebelles et emprisonné vingt-deux mois. Depuis, sa voix n’a cessé de porter les critiques les plus caustiques à l’encontre des dictatures et de la mauvaise gouvernance de son pays. Ce roman est le fruit de cette longue expérience, l’œuvre d’un immense écrivain. |
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