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Bonjour,« « Je n’ai pas essayé de reproduire la nature, je l’ai représentée », disait Paul Cézanne. (…) Cette rentrée, c’est à la représentation du monde, avec ce qu’elle suppose de regard, de singularité, de poésie et d’idées que nos auteurs se sont attachés. Quoi de mieux que la littérature pour comprendre le monde et les êtres qui l’habitent ? »
Alix Penent, directrice éditoriale des éditions Flammarion |
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La rentrée littéraire de Flammarion en vidéo : 1 auteur, 1 minute !
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« Rarement lu un roman si oppressant, je le referme le cœur serré et le souffle saccadé. L’histoire d’une intimité déchirée et d’une famille mise en cage. C’est écrasant, enrageant, palpitant. Je crois que les mots de l’autrice ont fait exploser mon anxiété : c’était exquis ! » jordan__ |
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« Je réponds à un SMS par un émoji biceps. Je réponds de plus en plus aux SMS par des émojis après avoir pourtant lutté contre pendant des années (les mots rien que les mots), au point même d’avoir parfois envie de ne communiquer qu’en émojis, mais est-ce possible ? » |
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Par l’auteur du prix du Livre Inter 2021
« J’ai beaucoup aimé ce livre, la langue de l’auteur est magnifique, très poétique, érotique, presque charnelle. On se sent directement happé par le personnage principal qui m’a vraiment touché. » Andiie |
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« Quelle histoire que celle de cette famille d’industriels italiens vue à travers les yeux d’Agnès, jeune française tombée amoureuse de l’héritier ! (…) L’Histoire avec un grand « H » de l’Italie qui se confond avec celle de la famille. (…) Des portraits au vitriol de cette grande bourgeoisie et un personnage très attachant. » Elisabeth8664 |
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« Quelle audace pour un premier roman ! Juliette Oury offre un roman d’une ingéniosité et d’une beauté fascinante. Sexualité et nourriture voient leurs positions inversés dans cette dystopie osée et surprenante. » LAncreEtLaPlume |
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« Un drame social serré, sans temps mort, au suspense maitrisé à la virgule près. Un roman choral qui offre une perception d’une société en perdition grâce à des protagonistes écrits avec soin. (…) De poésie en thriller, Le Grand Secours flirte avec les genres, disperse de nombreuses pistes. » aliasdam |
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« La ligne irrégulière et tremblotante de son trait autour de ses yeux et son rouge à lèvres mal étalé me rappelaient mon propre maquillage clandestin d’alors, que j’appliquais à toute vitesse dans la salle de bain de ma grand-mère, avec l’habileté d’une gamine de cinq ans pas spécialement douée pour les coups de pinceau. Mes premiers pas en tant que travestie furent ceux d’une transformiste d’un mètre vingt imitant une vieille dame sorcière et chiffonnière qui sentait la morgue. » |
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« Joëlle Kauffmann, février 1988 : « La nuit avant qu’il ne parte, nous nous sommes disputés sur des détails. En réalité, j’étais furieuse de son départ et je n’ai pas su le lui dire. » 17h40, le long-courrier en provenance de Paris se pose à l’aéroport de Khaldé. Les deux français débarquent en pleine zone de tempête. C’est quelque part sur cette route que se perd la trace de Michel Seurat et Jean-Paul Kauffmann. » |
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