Une brume si légère, Sandrine Collette, Editions de l’épée – Descente aux enfers
Bonjour à tous,
Aujourd’hui, je vous parle de Une brume si légère, une nouvelle de Sandrine Collette.
Mon appréciation : ♥♥♥ / 5
Ma chronique sur Babelio : Jo et Victor se sont séparés. Jo a été licenciée, et ce fut la descente aux enfers… Jo s’échoue à la Casse, où les voitures sont recyclées en logements pour SDF.
Aristote observe Nathan, un des gardiens de la Casse. Y aurait-il quelque chose entre Jo et Nathan ? Mais que l’on soit gardien ou pensionnaire, on ne peut pas quitter la Casse…
Comme dans Et toujours les Forêts, l’autrice nous invite dans un monde post-apocalyptique, un monde sombre où la misère broie les relations entre humains. C’est bien écrit, et cela se lit facilement.
Pour ne pas déflorer le sujet, je n’en écrirai pas beaucoup plus, sinon pour dire que cette lecture m’a déçu… Déçu, car je suis resté sur ma faim : le contexte, l’environnement, la psychologie des personnages, leurs relations, auraient pu être plus développés. En résumé, il y a là matière à écrire un roman, et on est frustré par le format court de la nouvelle.
NB : dans mon édition numérique, Une brume si légère est suivie du prologue de Juste après la vague, dont je ne dirai rien, sauf que le lecteur est également plongé dans l’après apocalypse…