Semi-marathon de Jérusalem (9 mars 2018)
Ça commence par un petit-déjeuner à 5 heures, suivi d’une vingtaine de minutes de marche pour rejoindre le site de départ. On est loin du professionnalisme de l’organisation des grands marathons ; là il y a un côté bon-enfant, avec des contrôles quasi inexistants… Pas la grosse pagaille, mais il vaut mieux suivre le flux des coureurs que les panneaux pour trouver la ligne de départ.
Les premiers kilomètres donnent le ton : on passe en permanence de la modernité de la vile nouvelle aux traditions de la vieille ville, des monuments historiques et des collines et vallons.
La première moitié du parcours est assez extraordinaire, avec notamment une visite des ruelles du quartier arménien de la vieille ville, près de la citadelle de David, après le km 5. La seconde moitié est un peu moins intéressante – effet de la fatigue ? – mais avec parfois de très belles vues sur les collines…
Le parcours est assez vallonné : seulement 330m D+, mais tout en faux plats et petites côtes ; usant. Ajouté à une préparation insuffisante, ce dénivelé fait très mal aux jambes à l’arrivée.
Au final : 2h17mn35s pour ce semi. Mais l’essentiel était de participer, et l’objectif de terminer…